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Archives de Catégorie: Humeur

Les parents auront le dernier mot dans 117 collèges sur l’orientation en fin de 3e – Le Nouvel Observateur

09 jeudi Jan 2014

Posted by Yahn in Humeur, Lu sur le web

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orientation, professionnel

Les parents auront le dernier mot dans 117 collèges sur l’orientation en fin de 3e – Le Nouvel Observateur.

C’est bien de le souligner sauf qu’à choisir, les élèves préfèreront une orientation subie en filière générale à une orientation choisie en professionnel.

Triste…

Peut-être faut-il voir l’orientation en professionnel comme une orientation sanction pour que le jeu de l’orientation se fasse vraiment.

Education: le redoublement doit être exceptionnel, décide l’Assemblée – Le Nouvel Observateur

15 vendredi Mar 2013

Posted by Yahn in Humeur

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Education: le redoublement doit être exceptionnel, décide l’Assemblée – Le Nouvel Observateur.

Moi je suis d’accord, il faut obliger les élèves en difficulté à poursuivre en classe supérieure. A un moment, ils finiront bien par comprendre qu’ils devront aller bosser dans une usine en Inde…

Les fameux 80% d’une classe d’age au BAC n’a fait que baisser le niveau de cet examen. Je suis sûr que cette réforme améliorera les choses.

Trêve de plaisanterie, je suis favorable au fait que les élèves ne redoublent plus pour éviter le côté sanction… SI et seulement si les moyens sont donné à l’école de permettre à cet jeunes de poursuivre différemment.

Pourquoi les enseignants sont-ils la cause de la crise de l’enseignement

30 dimanche Sep 2012

Posted by Yahn in Humeur

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Actualité, réforme, Refondation

Oui  je sais…. Le titre est un peu .. bon bref…

Ma femme est enseignante dans le privé catholique.  Donc dans l’enseignement libre, bref, dépendante du ministère de l’éducation nationale. Et pas des moindre : professeur de physique chimie en filière S. Je ne vous cache pas que même si dans le fond nous nous rejoignons sur pas mal de points, certaines discussions sur l’enseignement sont plutôt animées. La dernière en date concerne le fait que beaucoup d’enseignants que nous connaissons se plaignent de l’évolution de notre éducation nationale républicaine. Dans le désordre : « certains élèves n’ont absolument pas le niveau d’être en filière scientifique », « les élèves ne savent ni lire ni compter en arrivant au collège », « les réformes sont mal faites », « je dois voir des points en physique que mathématiquement ils n’ont plus au programme », « Les commissions d’appel laissent passer n’importe qui », « De toute façon si tu veux faire science Po, il faut sortir de BAC S », « Tu te rends compte que le dernier sujet de bac est de niveau second »… Inutile de continuer, vous avez sûrement compris l’idée générale.

Mon coup de gueule du jour est de leur dire ceci : Mais qui est responsable de tout cela?

Comment sont conçus les programmes? Pluridisciplinairement? non… souvent simplement disciplinairement. Et souvent par un ministre qui est enseignant (ou ancien enseignant) lui même. A-t-il oublié ce qu’était une classe? un jeune? Pourquoi ne pas décider de tout rendre transversal? Refusez d’enseigner ce que vous jugez en inadéquation avec le niveau, laissez vous accuser de vouloir trop bien enseigner. Vous n’avancerez peut être pas autant dans la grille de salaire, mais vous gagnerez sûrement l’estime de vos élèves.

Les diplômes (j’en ai déjà parlé) ne sont pas au niveau? Qui les rédige? Des enseignants… Redonnez leur une vraie valeur. Il n’y a pas de mal à ce que beaucoup échouent si tout a été fait en amont pour préparer chaque jeune. Arrêtons de mentir aux jeunes en leur disant qu’ils ont le niveau requis.

Qui siège aux commissions d’appel? Des enseignants…. Pourquoi vouloir remettre en cause les décisions d’orientations d’une autre équipe pédagogique? Redonnez le pouvoir aux enseignants. Arrêtons cette idée que nous pouvons, avec les moyens donnés, réussir à amener 80% d’une tranche d’âge au BAC. N’interdisons plus les redoublements : repensons les! Le socle commun est une piste intéressante, pourquoi ne pas moduler les enseignements? Et ne doivent passer dans le cycle supérieurs que les élèves qui ont acquis ce socle.

Qui pendant de longues années ont martelé que le BAC S était la reine des filières, clef d’entrée dans toute formation supérieure, au détriment des autres filières générales et professionnelles? Ces dernière devenant presque des orientations sanctions… Encore les enseignants. Dans l’idée précédemment évoquer, faisons en sorte que les « compétences » évaluées dans le socle soient un moyen de décision pour l’orientation de ces jeunes. Savez vous qu’il est possible de réussir professionnellement et de s’épanouir en passant par une filière autre que générale?

Profitons que le gouvernement ouvre une discussion à ce propos… réformons l’école ! Mais réformons la vraiment ! Pas simplement en faisant la même chose depuis 3000 ans.

La fable des animaux républicains

11 mardi Sep 2012

Posted by Yahn in Humeur

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Un jour, les animaux décidèrent de faire quelque chose pour résoudre les problèmes du monde moderne. Ils organisèrent donc des élections, et un ours, un blaireau et un castor furent désignés membres de la Commission d’Enseignement. Un hérisson fut engagé comme professeur. Le programme scolaire consistait à courir, grimper, nager et voler, et, afin de faciliter l’enseignement, l’on décida que toutes ces disciplines seraient obligatoires.

 Le canard battait tout le monde à la nage, même son professeur, mais il était très médiocre quand il s’agissait de voler et complètement nul à la course. C’était là en fait un si mauvais élève qu’on décida de lui donner des leçons particulières : il devait donc courir pendant que les autres allaient nager. Cet entraînement meurtrit tellement ses pieds palmés qu’il obtint à peine la moyenne à l’examen de natation.

 L’écureuil grimpait mieux que quiconque, avait toujours la meilleure note en escalade, 18 sur 20. Voler, par contre, lui déplaisait profondément car le professeur exigeait qu’il saute du haut de la colline, alors que lui préférait s’élancer de la cime des arbres. Il se surmena tant qu’au bout d’un certain temps, il n’obtint plus que 8 en escalade et 6 à la course.

 L’aigle était une forte tête que l’on punissait très souvent. Il éclipsait tous les autres quand il fallait grimper aux arbres, mais ne voulait utiliser que sa propre méthode. On décida donc de le mettre dans une classe d’observation.

 Le lapin était tout d’abord le champion de course à pied, mais les heures supplémentaires qu’on lui fit faire à la piscine finirent par lui donner une dépression nerveuse.

 A la fin de l’année scolaire, une anguille prodige, médaille d’or de natation, et qui savait aussi grimper, courir et même voler un peu, obtint la meilleure moyenne dans toutes les disciplines. Elle fut donc désignée pour prononcer le discours de fin d’année lors de la distribution des prix.

 Creuser des galeries ne figurant pas au programme scolaire, la taupe ne put aller en classe. Elle n’eut donc d’autre choix que d’envoyer ses enfants en apprentissage chez le blaireau. Plus tard, ils s’associèrent avec les sangliers pour fonder une école privée, et celle-ci eut beaucoup de succès.

 Mais l’école qui était censée résoudre les problèmes du monde moderne dut fermer ses portes  – au grand soulagement de tous les animaux de la forêt.

Texte enregistré lors d’une conférence de J. M. DE KETELE 1983

Lettre à mes élèves : « Pourquoi j’arrête l’enseignement ? » | Actualité de l’enseignement

02 dimanche Sep 2012

Posted by Yahn in Humeur

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Lettre à mes élèves : « Pourquoi j’arrête l’enseignement ? » | Actualité de l’enseignement.

passe ton BAC d’abord!

17 mardi Juil 2012

Posted by Yahn in Au coin !, Humeur

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Chaque année la même rengaine : « eh ben, cette promo, ça va pas être gagné pour les examens ». Et pourtant, chaque année, le pourcentage de reçus dépasse nos espérances. Qu’en est-il ? sommes nous plus exigent ? Les élèves ont-ils un éclair de génie lors des épreuves ? Notre évaluation en cours d’année est-elle erronée ? Ou bien le problème est-il plus profond ?

Revenons un peu en arrière, nous sommes en 1989, Lionel Jospin instaure une loi dont le 1er article est : « L’éducation est la première priorité nationale. ».(Code de l’éducation, art. L. 111-1.)

De même, pour ce qui nous intéresse :

  • La loi souligne que l’élève ou l’étudiant doit être un acteur de sa propre orientation et non la subir.
  • La loi rappelle l’existence d’une « communauté éducative » déjà affirmée par la loi Haby. Elle insiste sur la nécessité d’intégration des élèves et étudiants handicapés.
  • Parmi les objectifs de la loi, figure celui de conduire l’ensemble d’une classe d’âge au niveau du certificat d’aptitude professionnelle (CAP) ou du brevet d’études professionnelles (BEP), et 80% de la même classe d’âge au baccalauréat.

Je débuterai mon propos par le dernier point. En effet il est louable de souhaiter un tel niveau de réussite pour les jeunes. Mais cet objectif semble demander des moyens que l’état ne peut (ne veut ?) donner. Partons-nous d’une idée que chaque élève a en lui la même capacité d’atteindre le même objectif au même moment ? Pour ma part je reste convaincu que chaque jeune a son propre potentiel qui n’est pas identique à celui de ses camarades. Vouloir amener une classe d’âge à un diplôme revient à en brider certains et en perdre d’autres. N’est-il pas là le vrai nivellement du système scolaire ? Où fixer le curseur ?

Les freins mis au redoublement (que je considère inutile tel qu’il est maintenant) amène invariablement des élèves qui n’ont pas le niveau dans la classe supérieure. L’ultime aboutissement pour chaque élève (ou famille ?) étant d’arriver en terminale S, Saint graal du monde éducatif, clef de toute filière digne de ce nom. N’en est-il pas moins que l’on souhaite amener ces fameux 80% de la classe d’age au BAC : Une solution? Il semble, en en ayant discuté avec des enseignants, que la solution la plus simple et la plus économique est encore d’adapter le niveau de l’examen à celui des élèves plutôt que l’inverse. J’attends bien sûr beaucoup de remarques à ce sujet de personnes qui pensent le contraire… Et j’en serais heureux, le débat est positif. Ce qui est vrai dans les filières générales l’est aussi en technologique et en professionnel. De mon côté, correcteur régulier du DNB série technologique et professionnelle, je me rends compte à quel point il est demandé la plus grande indulgence de notre part dans la correction. quitte en mathématiques à donner les 3/4 des points si un résultat sans explication est donné, pour ne pas pénaliser un élève qui aurait tout fait au brouillon et n’aurait pas recopié. Où va-t-on ? Je rappelle le premier article de cette loi : « L’éducation est la première priorité nationale ». N’est-il pas temps que la nation se donne les moyens de ses objectifs?

Pour le deuxième point, je pense que tout n’est pas encore mis en place dans beaucoup d’établissements pour l’accueil des élèves handicapés. Pour ne citer qu’eux, ayant de plus en plus d’élèves dans cette situation, qu’est-il réellement mis en place pour l’accueil d’élèves dyslexiques dans les établissements scolaires ? Pour aller plus loin : qu’est-il mis en place dans les Maisons Familiales Rurales ? Bien sûr le rythme adapté, les faibles effectifs, l’encadrement des jeunes apportent des résultats à ces élèves mais est-ce tout ce qu’il y a à faire ?

Pour le premier point, qui indique que l’élève doit être acteur de sa propre orientation et non la subir, qu’en est-il vraiment ? Comment un jeune peut-il maîtriser son orientation ? Là les MFR tirent leur épingle du jeu grâce à leur pédagogie de l’alternance. Un jeune entré en quatrième de l’enseignement agricole dans mon établissement aura 36 semaines de stage (soit 6 stages) pour se faire une idée des domaines susceptible de l’intéresser. Cela fonctionne : Les jeunes vivent mieux leur orientation. Pour le général c’est plus compliqué. En effet, La réforme pédagogique des lycées, mise en oeuvre il y a une quinzaine d’années, avait pour objectif principal de rééquilibrer les filières et les séries, notamment en mettant fin à la suprématie de la série C. Les enseignements optionnels proposés en seconde avaient pour fonction d’aider les élèves à choisir leur série de première et les spécialités de terminale à affiner leur orientation vers les différentes voies de formation supérieures. Or l’analyse des processus d’orientation, de la fin de la classe de troisième à l’entrée dans l’enseignement supérieur, montre que ces objectifs ne sont pas atteints.

La diversité des raisons que les bacheliers S avancent pour motiver leur choix de cette série16 est révélatrice du rôle que joue la série S dans le processus de détermination d’une élite scolaire. C’est ainsi que des « non-scientifiques » (du point de vue des enseignants de cette filière) choisissent cette voie pour s’assurer une poursuite d’étude dans des filières plus « prestigieuses ».

Si 44 % d’entre eux disent avoir choisi la série S par goût pour les sciences (ce sont, en moyenne les plus jeunes, les meilleurs , ceux qui ont choisi en terminale, les spécialités mathématiques et physique-chimie), 30 % disent l’avoir fait pour se garder ouvertes toutes les possibilités de poursuite d’études supérieures (ce sont notamment ceux qui s’orientent finalement vers les classes préparatoires économiques ou littéraires ou les formations universitaires non scientifiques), 12 % parce que la voie scientifique est nécessaire pour les études qu’ils envisagent (formations de santé), 11 % parce que c’est dans les disciplines scientifiques qu’ils ont les meilleurs résultats (ce sont ceux que l’on retrouve ensuite en sciences à l’université ou dans les IUT secondaires), 3 % parce qu’ils y ont été poussés par
leurs parents ou par leurs professeurs (sciences humaines).

Mais ne nous leurrons pas, si aujourd’hui atteindre la terminale S est une porte ouverte à un avenir brillant, les formations supérieures se chargent de faire le tri. Si beaucoup arrivent en 1ère année de médecine, combien en sortent ? Combien sont refusés en école d’ingénieur ? Bien sûr, les malchanceux se verront ouvrir toutes grandes les portes des BTS. Mais dans ce cas, qu’en est-il des laissés pour compte des filières technologiques et professionnelles ? Ont-ils toujours cette liberté d’orientation ? restent-ils véritablement acteurs ou sont-ils seulement spectateurs? Peut-être encore avons-nous trouvé une solution à ce problème en supprimant progressivement les filières technologiques… Dans combien de temps allons nous nous retrouver avec 2 uniques voies : générale ou professionnelle; 2 uniques diplômes : Le bac Professionnel et le bac général (sous entendu « S »).

Un gros travail doit être fait, me semble-t-il pour redonner un niveau en adéquation avec le diplôme préparé. Le diplôme n’est-il pas le moyen d’authentifier le niveau atteint par l’élève à un moment donné de sa scolarité. Donnons la chance à nos enfants d’être fier de leur diplôme au lieu de chercher à le brader. Nous nous plaignons que nos scientifiques partent à l’étranger ? Patientons, bientôt peut-être bientôt seule la France voudra bien les recevoir.

A bientôt !

Sur la note

15 dimanche Juil 2012

Posted by Yahn in Humeur

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Il n’y a ni notes ni classement dans nos écoles. Et vous regrettez le temps où vos enfants vous revenaient, le soir, avec, en mains, leur tableau de chasse :
« J’ai eu trois bons points ! » … « J’ai gagné deux places… » Mais le “mauvais écolier”, celui qui n’a pas de bon point, ou qui a reculé au classement – et il faut bien qu’il y en ait qui reculent si d’autres avancent – celui-là se cache, dépité et honteux, ou se vante, ou ment, tout comme le chasseur qui s’en revient bredouille de sa randonnée.

Vous dites qu’il faut de l’émulation, et nous le pensons avec vous. Mais pour qui joue cette émulation, et qui en est victime ? Pour deux ou trois têtes de classes orgueilleux de leur victoire, combien de pauvres enfants découragés de leurs échecs s’en iront rejoindre la grande armée des cancres qui réagiront à leur façon contre la position inférieure où vous les aurez rejetés !

Il y a mieux à faire et nous nous y essayons.

Les notes et les classements sont établis avec une fausse mesure. Ce n’est pas parce que votre enfant était parmi les derniers qu’il doit être condamné. Il nous suffira parfois de découvrir ses aptitudes et ses vraies lignes d’intérêt pour lui redonner confiance et préparer un bon départ.

Les notes et les classements sont injustes. Ils récompensent le “bon élève” qui réussit sans effort et punissent, découragent, le travailleur acharné qui n’a pas bonne mémoire ou qui s’intéresse à des activités que l’École juge superflues.

Nous voulons, nous, que chaque enfant puisse avoir sa part de réussite et de succès.

Les notes et les classements sont dangereux. Ils apportent dans notre école une atmosphère immorale de mauvaise compétition, de tricherie, de marchandage et de jalousie.

Nous vous dirons comment, sans rien négliger de tout ce qui peut encourager l’effort, nous nous appliquons à faire de notre classe une grande communauté de travail où chacun peut, à quelque moment, prendre la tête du peloton.

Et le travail intelligent porte en lui-même sa récompense.

Freinet C., Appel aux parents, Paris, Bibliothèque de l’école moderne, 1969

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